Greenfield Parker née en 1971, Marino a eu la chance d’évoluer dans un environnement familial riche en créativité où le médium, le support et la technique n’étaient que prétextes à l’expression de l’émotion du moment. Malgré cette hâtive immersion dans le monde de la création, ce n’est qu’en 2012 qu’elle décide de se
Greenfield Parker née en 1971, Marino a eu la chance d’évoluer dans un environnement familial riche en créativité où le médium, le support et la technique n’étaient que prétextes à l’expression de l’émotion du moment. Malgré cette hâtive immersion dans le monde de la création, ce n’est qu’en 2012 qu’elle décide de se consacrer entièreme
Greenfield Parker née en 1971, Marino a eu la chance d’évoluer dans un environnement familial riche en créativité où le médium, le support et la technique n’étaient que prétextes à l’expression de l’émotion du moment. Malgré cette hâtive immersion dans le monde de la création, ce n’est qu’en 2012 qu’elle décide de se consacrer entièrement à sa passion. Alors partagée entre l’abstraction et le figuratif, elle peint sur des toiles grands formats dans l’expectative que l’observateur acceptera de se laisser envelopper par l’essence même de l’œuvre qu’il détaille, un nouvel univers hautement vaporeux empreint d’émotions et de mystères où, laissé seul, l’esprit retrouve un certain centre d’apaisement. Après une période de formation auprès d’artistes professionnels et Maitres en Beaux-Arts, Marino embrasse enfin son ambivalence pour peindre des compositions semi-abstraites dans un processus proche de la méditation pleine conscience caractérisé par l’accueil attentif des parts inconscientes qui émergent de soi.
ÉQUILIBRE
Définir à quel style artistique l’on appartient n’est pas toujours une mince affaire, surtout lorsque notre leitmotiv fondamental est de se dissocier de tout genre préconçu. Peut-être est-ce mon côté rebelle qui, un jour, me poussa à embrasser l’ambivalence, chose certaine, je créé, depuis, de façon beaucoup plus fluide. Dans
ÉQUILIBRE
Définir à quel style artistique l’on appartient n’est pas toujours une mince affaire, surtout lorsque notre leitmotiv fondamental est de se dissocier de tout genre préconçu. Peut-être est-ce mon côté rebelle qui, un jour, me poussa à embrasser l’ambivalence, chose certaine, je créé, depuis, de façon beaucoup plus fluide. Dans la liberté, le choix est permis, alors libre de contraintes, je peux mieux user d’instinct en procédant au mariage entre le figuratif et l’abstrait. Il n’en reste pas moins que c’est lors des phases d’abstraction pure que je laisse place à beaucoup plus de spontanéité.
Quand je créé, les idées jaillissent de mon inconscient de manière quasi expérimentale, en ce sens que mes séances de création se rapprochent de la méditation pleine conscience. Et une fois organisé, le résultat perceptible fait abstraction des lois même de l’abstraction dans un processus de redéfinition totalement libre pouvant même mener à la destruction complète d’œuvres n’ayant eu, tel des mirages éphémères, de durée de vie que celle de papillons. Cependant, dans la plupart des cas, heureusement, l’œuvre réalisée devient l’écrin d’un message destiné à être perçu à travers l’émotion dépeinte par un état de matière fixe et entier, magnifié, devenue harmonieux, un espace sacré.
Les Beaux-Arts me fascinent par ce qu’ils témoignent de la maitrise des techniques picturales des grands maitres de l’histoire de l’art académique, et afin de me donner les chances d’atteindre un jour à leur niveau, je me suis engagée à continuellement me renouveler en élargissant le spectre de mes compétences dans une diversification des techniques. Pour ce faire, j’ai déjà suivi quelques formations auprès de professionnels et maîtres des Beaux-Arts dont certaines sur le dessin technique et industriel. Je me suis, de surcroit, essayée au modèle vivant. Quant aux influences, mon choix des couleurs douces et des atmosphères éthérées résultant de fondus témoigne de l’influence qu’à sur moi le peintre romantique William Turner. J’ai aussi exploré différents médiums, et c’est la peinture à l’huile qui m’a le plus séduite en réussissant à faire jaillir complètement l’art des tréfonds de son âme.
En soi, soutenue par une quête d’équilibre entre la rigidité des standards esthétiques maintenue par les Beaux-Arts et l’éclatement permis par l’automatisme, ma démarche vise à atteindre à un contrôle plus affirmé sur la matière autant sur celle palpable que je touche que sur celle invisible provenant du cœur et de l’esprit
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